mercredi 17 janvier 2018

Enlève ta culotte, c'est moi qui pilote !

Bonjour mes loutres préhistoriques.

Aujourd'hui je vais vous donner une le secret pour faire atteindre l'orgasme du siècle à votre (ou vos) partenaire(s).


Eh bien non, désolée, comme d'habitude, ce début d'article n'était qu'une technique sournoise pour que tu cliques, toi qui viens de Facebook.
Je ne te délivrerai donc pas le secret d'un orgasme de folie aujourd'hui, ni demain, ni après-demain, ni... bon, t'as compris, pas la peine d'insister.
Mais enfin, range moi donc cette mine toute triste, tu vas m'faire chialer !
Et voilà, ça y est je pleure, t'es content ?
J'suis sensib' moi.

Du coup, maintenant que j'ai d'la peine, j'vais céder et te le donner, le secret.
Ben ouais, tu m'as eue par les sentiments, mais tu m'promets que ça restera entre nous ?
Faudrait pas que ça s'ébruite...
T'imagines le bordel sinon ?
Les gens feraient plus qu'ça...

Donc...
 Le secret pour offrir à ton ou ta partenaire le meilleur orgasme de sa vie, c'est...
d'être Tcheuque Norris.

Et voilà, je t'ai encore baisé la gueule, faut cesser d'être naïf enfin mon p'tit !
Je sais, j'suis d'une lourdeur incroyable, mais c'est pour ça qu'on m'aime (comment ça, "non" ?).
Ça vaaaa, boude pas !
T'es beaucoup plus joli(e) quand tu souris ! (phrase relou de parents n°256)

Pour me faire pardonner, je t'ai quand même écrit un article très gentil.
Vulgaire, mais gentil.
Comme moi.
Alors, reste.
STP.
J'vais pas m'mettre à chialer d'vant toi quand même ?

Allez, pose tes fesses sur ce canapé / cette chaise / ce sol, et laisse toi embarquer mon p'tit cheval des savanes.

J't'ai concoté un article sur l'anxiété, et le lâcher-prise.
<<On s'en bat les couilles>> te révoltes-tu grossièrement.
<<Euh, c'est pas très très gentil quand même...>> te remets-je à ta place avec autorité, telle la kaïra que je suis. ZBREH ! Thug life ma gueule !

Puis, une fois calmée, je rajoute avec courtoisie :
<<Maintenant tu fermes ta gueule FDP et t'écoutes c'que j'ai à t'dire sinon j'te brise la colonne à coups de barre de fer.>>

Voilà, on peut commencer.

Dans ta p'tite vie douillette, tu dois faire face à toutes sortes de problèmes et d'inquiétudes, des plus insignifiants (genre être dans un pays en guerre) aux plus graves (ne plus avoir de bières dans ton frigo par exemple).
Et toi, mon p'tit loup adoré, ben face à ces problèmes, tu te tracasses, tu rumines, tu te tourmentes.
Et ça, ça peut plus durer ma crevette bleue décortiquée de la guérite (ça, c'est une expression de ma grand-mère, vous comprenez sans doute mieux d'où me viennent mes 28 personnalités).

Parce qu'en fait, face aux situations difficiles, il est tout à fait naturel de ressentir de l'anxiété.
Lorsque le corps sent que quelque chose ne va pas, il va alors nous pousser à réagir en nous envoyant des messages chimiques à l'aide de plusieurs hormones du stress : le cortisol, l'adrénaline, et la noradrénaline.
Tu suis, un peu ?
Après, si ça t'intéresse pas moi j'ferme ma gueule, arrête un peu de bailler comme un connard pendant que j'essaye de t'apprendre des trucs, c'est vexant.
Tu m'fatigues Patrice.



Je reprends.
Ce mode de fonctionnement est tout simplement un héritage de nos vies d'antan, lorsque nos ancêtres vivaient dans des grottes, à moitié à poil (les ancêtres, pas la grotte... une grotte à poil, mais que tu es lourd, c'est épuisant, on dirait moi...), qu'ils chassaient, se faisaient buter par des bestioles vénères et que la peur était donc indispensable pour leur survie.
Ben oui, parce qu'elle les poussaient à adopter la réaction appropriée face au danger : la fuite, ou l'attaque.

Sauf que dans nos vies modernes, fort heureusement, ben les cas où la fuite et l'attaque sont utiles se révèlent assez rares, à moins d'être réellement dans une situation de survie (une agression par exemple, ou une attaque de caniche, ce qui revient au même).
Dans notre quotidien, lorsque l'on ressent de l'anxiété, la fuite ou l'attaque ne serviraient généralement à rien, ou auraient même des conséquences désastreuses (par exemple, si t'as peur que ton patron te licencie et que tu choisis de l'attaquer d'un coup de tournevis dans la gorge, ça va pas tellement régler tes problèmes, à moins que t'aies envie d'habiter en prison).

Notre inconscient croit bien faire : ce brave homme (appelons le José) t'envoie un message de peur pour que tu te casses ou que t'attaques, mais toi, tout ce que tu ressens, c'est du stress, et tu restes passif, du coup José se dit "mais il est con ou quoi, il a pas compris mon message ? J'envoie l'alerte rouge !", et il te balance toujours plus de stress pour te faire réagir, du coup tu retournes tes problèmes dans tous les sens, tu t'empêches de dormir (t'as cru que José allait te laisser dormir alors qu'il croit que tu vas te battre avec un mammouth ? Certainement pas !), bref, c'est le bordel.

Parce qu'en fait, la solution c'est d'expliquer à José que, non, tu vas pas mourir si tu te retiens de fuir ou d'attaquer ton problème.
Du coup, ça implique de te raisonner un minimum, d'analyser la situation et te dire "Bon, pensons concrètement, quelles possibilités s'offrent à moi dans la situation actuelle ? Qu'est-ce que je peux faire pour éviter que ce que je redoute ne m'arrive ?"
Panique pas, je vais t'expliquer ça plus en détail par la suite.



Récapitulons quelques trucs importants et bons à savoir.
Donc premièrement mon agneau :

- T'inquiéter ne sert à rien.
Facile à dire !
Mais en prendre conscience est déjà un premier pas vers le lâcher-prise.
Je vais te parler d'une étude (que je n'arrive malheureusement pas à retrouver, du coup libre à toi de croire que je l'ai inventée, mais ce serait quand même gonflé de ta part de pas me faire confiance, j't'ai déjà menti Marie-Augustine ? Hein, quoi, quel début d'article ? Oh regarde, un oiseau mort, là => oiseaumort) (je tiens à vous présenter mes excuses pour la parenthèse précédente, il semblerait que mon cerveau ait été victime d'un piratage, du coup je me désolidarise de cette dernière, et puis, tant qu'à faire, de la parenthèse présente également, vu qu'elle est littéralement partie en couille... *ne pas faire de blagues sur "couille", ne pas faire de blagues sur "couille"*) (ahh putain, c'était dur, mais j'ai repris le contrôle, fini les blagues de merde).
J'te disais donc, mon oisillon des lagons, que j'allais te parler d'une étude.

Une étude qui avait été faite sur des gens qui s'inquiétaient pour diverses raisons, des gens qui redoutaient que X chose arrive, ou n'arrive pas justement.

A la fin de l'étude, le résultat était sans appel : dans environ 90% des cas, les gens s'étaient inquiétés pour rien.
Ce qu'ils redoutaient n'avait pas eu lieu.
Ça fait réfléchir, non ?
Alors j'te sors un peu mon histoire de nulle part du coup tu peux douter de mes chiffres, mais au final, réfléchis un peu.
Pense au nombre de fois où tu t'es toi-même inquiété pour rien.
Toutes ces fois où tu t'es foutu la rate en PLS alors qu'en fait, ben que dalle, tout roule.
Donc dis toi que t'as statistiquement pas mal de chances de t'inquiéter pour un truc qui n'existera jamais.

-L'inquiétude est souvent plus difficile à vivre que ce que l'on redoute de vivre.
MAIKESKELDI ?
Exemple, on peut s'inquiéter de perdre son emploi, finir par le perdre, puis se rendre compte que c'est pas la fin du monde et qu'on a finalement des ressources en nous pour rebondir (et crois moi, on a toujours plus de ressources en nous que ce qu'on imagine).
Etre dans un état d'anxiété est extrêmement compliqué et source de souffrance.
Au final, il arrive que, lorsque ce que l'on redoute se passe, on ressente malgré nous une forme de soulagement, de libération.
En général, on finit même par avancer, puisque l'on a plus le choix, alors que tant que l'on reste dans un état d'anxiété, entre deux eaux, on stagne.

- L'inquiétude n'a aucun pouvoir protecteur.
C'est pas parce que tu t'inquiètes pour un proche que tu le protèges.
Evidemment, tu te dis que ce serait égoïste de ne pas t'inquiéter.
Et là j't'arrête tout de suite mon gros faisan mordoré des Antilles.
Se foutre les tripes en vrac n'a rien d'un acte altruiste.
Alors, bien sûr, il est naturel de se soucier de la situation d'un proche en difficulté. Et de le lui dire, aussi, parce que c'est effectivement une marque d'attention, et qu'il ne faut pas que vos proches croient que vous êtes totalement détachés de leurs soucis, en mode "je m'en balek de tes problèmes, va t'faire enculer frère". Il est important de savoir faire preuve de compassion, avec sincérité.
Apportez à vos proches votre soutien, sans pour autant vous empêcher de dormir la nuit.
Déjà, parce que dormir c'est bien trop cool pour s'en passer, et qu'en plus ça t'apporte plein de bienfaits dont je te parlerai dans un prochain article, un jour (non sans une certaine hypocrisie, moi qui suis en train de taper cette phrase à 1h55, et tu remarqueras également avec quelle arrogance je passe du tutoiement au vouvoiement qui n'en est pas vraiment un).
Nan, mais surtout, c'est pas l'absence de sommeil qui va t'aider à prendre du recul, et, ça n'aide absolument pas la personne pour qui tu t'inquiètes.
T'es quand même bien obligé de reconnaître que j'ai raison sur ce point là ? (et sur tout le reste, nan ? allez, dis oui bb)

Bref, donc là tu m'dis :
<<Ouais, enfin t'es bien gentille Tcheuquitos, mais y a pas de bouton magique pour arrêter de s'inquiéter !>>
Et moi, ben j'te fous un coup de pied rotatif dans la gorge, parce que j't'avais déjà dit de n'plus m'appeler Tcheuquitos.
Oui, ça fait mal, mais tu peux t'en prendre qu'à toi-même. Bouffon.

<<Pardon.>> te repentis-tu, et du coup, vu que mon coeur est grand comme une cathédrale, ben j'te pardonne.
Et même que j'te réponds, avec bienveillance et arguments.
Et ça, même Mère Thérésa ne l'aurait pas fait. Moi j'te dis qu'elle t'aurait laissé crever la gueule ouverte, et qu'elle t'aurait même mis quelques coups d'pieds dans les côtes une fois que tu serais à terre. 
Parfaitement oui, avec ses p'tites sandales.
Faut pas lui manquer d'respect à cette brave femme.

Donc, je reprends si tu m'le permets, et t'as plutôt intérêt à m'le permettre sinon j'te déboîte la clavicule.
Il ne s'agit pas de devenir quelqu'un qui s'en branle de tout (même si ça fait du bien, des fois).
Il s'agit plutôt de prendre du recul face aux situations et de ne pas laisser nos émotions nous latter la gueule (et ça c'est chaud, parce qu'elles sont généralement au moins ceinture noire 3e dan de Kung Fu, comme mon pote Alex, qui passe par là sans jamais commenter mes articles, ce gros enfoiré du cul).

Bref, maintenant qu'on a plus ou moins diagnostiqué et décortiqué notre problématique (oui, c'est la notre, à toi, à moi, à vous. Tu lis, donc tu t'engages avec moi, c'est comme ça, je t'oblige à t'investir, et si t'es pas content je te brise les rotules, mais est-on obligés d'en arriver là ? Non, je ne crois pas. Alors fais un effort Pierre-Augustin.)

Je reprends comme si cette parenthèse n'avait jamais existé.



Nous allons donc désormais passer à la deuxième partie.
La belle, la grande, la majestueuse... partie SOLUTIONS.
Enfin, j'devrais p'tet pas la foutre en majuscules, genre bim bam boum elle arrive pour changer ta vie, sinon toi tu vas t'attendre à un truc de ouf, genre des formules magiques, des potions magiques, des moyens d'invoquer ton patronus (si tu sais pas ce que c'est... ben lis Harry Potter, et en attendant, tu remarqueras quand même que ce superbe mot est un condensé entre "patron" et "anus", et ça, c'est beau), des formules magiques (ta gueule, je sais que je l'ai déjà dit, c'était pour faire oublier ma parenthèse précédente, laisse moi faire comme je veux, c'est mon blog oui ou merde ??), des formules magiques, des potions magiques, et du coup, ben tu vas être déçu.
Ben ouais, mais c'est pas de ma faute si tu te projettes toujours trop loin aussi.
Moi, j'suis là, tranquille, j't'écris juste un mot en majuscules, et tu pars dans tes délires.
CALME TOI BORDEL !!!
Inspire...
Expire...
C'est bon je peux reprendre ?

Passons donc à la modeste partie "solutions".

Alors, ma p'tite loutre motorisée du turfu, je te conseille la méthode suivante lorsque tu sens l'inquiétude venir te hanter et l'angoisse s'emparer de ta douce personne :


1) Faire un brainstorming avec toi-même (ou avec tes éventuels partenaires d'inquiétude).
Tu fais une liste mentale ou écrite (écrite c'est mieux, tu prends encore plus de recul et évite de devoir faire encore tourner des idées dans ta tête jusqu'à l'étourdissement) des solutions que tu as pour éviter ce que tu redoutes.

Exemple : T'as l'impression que ton couple ne va plus très bien, et t'as peur que ton ou ta partenaire se casse avec Petroushka / Miguelitos, son/sa collègue super seksy ?
Note des pistes pour éviter ça :
Solutions éventuelles => avoir une discussion, faire de nouvelles choses ensemble (balades, resto, partouzes... oh ça va hein, toi aussi t'y as pensé !), découper Petroushka/Miguelitos en morceaux... (je déconnais, pose cette tronçonneuse tout de suite, sinon ça va encore me retomber sur la gueule)

2ème exemple (gratuit) : T'as peur de perdre ton taf ?
Solutions éventuelles => trouver de nouvelles méthodes de travail pour gagner en efficacité, avoir une discussion avec ton patron, faire un spectacle de claquettes au boulot pour montrer à quel point tu es un atout pour l'entreprise

3ème exemple (gratuit, payable en 3 fois sans frais) : T'as peur que Mufasa ne meure à chaque fois que tu regardes le Roi Lion ?
Va consulter un psychiatre.

(ça vaaa, j'peux pas TOUJOURS être drôle hein, faut bien que je m'entraîne à être comme vous des fois !)

2) Fais une liste de ce que tu peux faire si ce que tu redoutes finit par arriver.
La plupart des situations, même celles kipuduku, ont des inconvénients ET des avantages.
Se faire larguer, par exemple, offre plus de place dans le lit et la liberté de manger/regarder/lire/faire ce qu'on veut.
Ça laisse également plus de temps pour soi, et pour l'accomplissement de ses projets, qu'on laisse parfois de côté quand on est en couple.

Perdre son emploi, par exemple, offre l'occasion de changer de vie, de t'interroger sur ce que tu veux vraiment faire, et d'entamer des projets à la hauteur de tes ambitions.

3) Si, après la première étape, tu te rends compte que tu n'as aucun moyen d'action dans la situation dans laquelle tu es, par exemple, lorsque tu attends les résultats d'un examen, ou encore, lorsque tu as peur que l'avion que vient de prendre un de tes proches ait un accident, c'est simple, lâche prise.
Réellement.
C'est plus simple que tu ne le penses.
Evidemment, je dis pas que c'est d'une simplicité absolue.
Mais toi, mon p'tit poulet du désert, tu peux déjà t'appliquer à ne pas t'embarquer dans les pensées négatives qui te sont suggérées par ton esprit.
Ce que tu redoutes n'existe pas.
Tu es dans le présent, et tu ne fais qu'écrire une fiction dans ta tête.

Comme le disait ce génie qu'est Mark Twain : "J'ai connu des moments terribles dans ma vie, dont certains me sont arrivés", ou encore "Ma vie est une somme de terribles malheurs - dont la plupart ne sont jamais arrivés."

Dès que ton cerveau t'envoie le dernier film de sa superproduction pour t'angoisser, tu lui dis : "J'ai rien commandé, ça dégage. Ramène moi plutôt une pizza la prochaine fois."
En fait, tes pensées négatives sont aussi relou et insistantes qu'un vendeur de porte à porte.
Et toi, ben naïvement, tu les laisses entrer, tu leur offres même le café et des p'tits muffins histoire qu'elles soient bien installées.
Le soir, tu leur payes l'apéro, tu leur fais des pâtes à la bolo, et ensuite tu t'étonnes qu'elles se croient chez elles et qu'elles te lâchent plus.
Il est donc temps de les dégager à coups de pied au cul.

Pour ce faire, dès qu'une pensée négative se présentera à la porte de ton cerveau avec son grand sourire Colgate White Spécial Dents en Bout de Lavabo, ben tu lui claqueras la porte à la gueule en lui disant :
<<Ça ne m'intéresse pas.>>
(tu peux même lui filer un p'tit coup de poing dans l'estomac, ça fait de mal à personne, 'fin, si, mais c'est un peu mérité)

Alors, bien sûr, ça s'arrêtera pas là, sinon ce serait trop facile.

Ta pensée négative sera très vexée de s'être fait dégager comme une merde, et reviendra donc à la charge avec des techniques de scientologue :
<<C'est re-moi, faut m'laisser entrer parce que je viens t'alerter d'un grave danger.>>
Ne l'écoute pas, elle bluffe et n'en sait pas plus que toi sur l'avenir, donc claque lui la porte au nez de nouveau.

Elle reviendra certainement avec d'autres potes tout aussi sinistres et déprimants, frappant de nombreuses fois, et ce sera pénible d'avoir à les dégager à chaque fois, mais tant que tu le feras, elles ne rentreront pas chez toi.
Et petit à petit, elles vont comprendre qui est le patron, se fatiguer, et se lasser.
Elles espaceront leurs tentatives de plus en plus, parce que t'auras appris à gérer, en partie, ton esprit et les pensées qui en découlent.
A la fin, t'auras même plus à t'forcer, ça deviendra un réflexe.
J'espère que mes petites métaphores t'auront aidé à y voir plus clair, et si tu as d'autres questions, n'hésite pas mon joli furet quadrilatéral.


Maintenant, tu peux / dois :


- Te décapsuler une bonne petite bière et la boire tranquillou en m'écrivant un petit commentaire.
Si t'as pas d'inspiration, c'est simple, t'as qu'à copier-coller le texte suivant :
<<Merci Ô magnifique Tcheuque Norris pour cet article qui vient de révolutionner ma vie. J'aimerais te faire un virement de 500€ pour te remercier. Bisous.>>

- Découvrir le sentiment euphorique que procure le fait de partager cet article.
Tu verras, ça fait un peu comme un orgasme, mais en mieux.
En plus, ça mettra de la joie dans mon p'tit coeur, et je t'enverrai une superbe photo porte-bonheur de lampadaire disco personnalisé.
Si tu partages, pense à me prévenir, car, comme je le rappelle, ni Facebook ni Blogspot ne me prévienne quand tu partages mes articles.
C tro d rageu tavuuuuuuu

- Liker ma page Facebook si ce n'est déjà fait : ICI 
Voilà.
C'est bien mon petit.

- Ignorer chacune des options ci-dessus, et partir de ce blog avec une immonde lâcheté.
Et faudrait vraiment être une belle saloperie pour faire un truc pareil.
D'ailleurs, tu es typiquement le genre de personne qui attend qu'un gars soit enseveli sous les coups de six autres personnes, pour venir lui foutre un petit coup de pied en scred' derrière le mollet.
Tu m'donnes envie de vomir.
Tiens d'ailleurs, je dégueule.
MERCI HEIN !
FDP.

Je te laisse maintenant en compagnie de ce chat obèse, qui t'aidera, j'en suis certaine, à faire le bon choix.

Bisous.


Première vraie vidéo avec du retard

Salut mon p'tit palmier hydrofuge S'il existe encore des personnes qui lisent ce blog sans être abonné à ma page facebook ( ic...