Marre de ta vie de merde ?

Bonjour à toi, mon p’tit plumeau pétroslovaque.

Aujourd’hui, je vais te révéler une technique japonaise pour trouver ta voie, et/ou avoir une idée de projet(s) dans le(s)quel(s) te lancer.

Alors pose toi tranquillou, et lis la suite de cet article préparé avec amour et bienveillance.

L’ikigai

Parce que oui, c’est comme ça que ça s’appelle. Ca se prononce iquigaille, y parait.

C'est un mot japonais qui est l'équivalent de << joie de vivre >> et << raison de vivre >>.

Le principe est simple.

Je vais faire comme si j’étais utile et que tu ne savais pas lire ce qui est écrit sur l’image.

On a 4 gentils cercles qui se croisent.

- Ce que tu aimes - Ce que tu maîtrises - Ce qui pourrait te rémunérer - Ce dont le monde a besoin

Ta mission va donc être de les remplir, sans te mettre de limites.

Note absolument tout ce qui te passe par la tête, par exemple, dans le cercle

<< Ce que j’aime >>, tu peux écrire :

Voyager, cuisiner, prendre des photos, rire, chanter, faire l’hélicoptère avec ta bite, et bien d’autres choses qui te rendent heureux.

La partie << Ce dont le monde a besoin >> peut se révéler assez complexe à remplir, parce qu’on est souvent influencé par une pensée de masse, et qu’on a des idées préconçues sur le sujet. Par exemple, il est communément admis que le monde a besoin de paix.

Mais, réfléchis, et ose mettre sur papier de nouvelles idées, qui te sont propres.

Par exemple, pour toi, peut-être que le monde a besoin de se marrer. Pour ton meilleur pote, peut-être que le monde a plutôt besoin de progrès technologiques dans un domaine. Chacun sa vision, et c’est en étant connecté le plus possible à ce que tu ressens et ce que tu désires que tu réussiras à avoir des idées en accord avec toi-même et ta vision du monde.

Tu es unique, et tu as quelque chose à apporter à ce monde, à ta manière.

APRES

Une fois que tu as bien rempli tous les cercles, tu vas regarder s’il y a des choses que tu retrouves dans deux cercles qui se croisent, et les écrire dans leur zone de croisement.

Et là, tu vas obtenir :

- Entre ce que tu aimes et ce que tu maîtrises, une passion. - Entre ce que tu maîtrises et ce qui pourrait te rémunérer, une profession. - Entre ce qui pourrait te rémunérer et ce dont le monde a besoin, une vocation. - Entre ce dont le monde a besoin et ce que tu aimes, une mission de vie. Ouais, carrément mon pote, une mission de vie. Tu crois qu’elle l’avait trouvé comment Mère Theresa, son idée d’aller aider les pauvres ? Avec un ikigai, parfaitement. (rho ça va, on peut plus rigoler ? comment "c'est pas drôle" ? parce qu'en plus faudrait que je sois drôle pour avoir le droit de rigoler ? c'est quoi cette dictature ? j'vais t'balancer des blagues de Toto dans la gueule, ça va vite te calmer, moi j'te l'dis…)

NB : Parenthèse, ça rime avec malaise. Coïncidence ? Je ne pense pas.

APRES APRES

Tu vas refaire exactement la même chose que dans l’étape précédente, sauf que cette fois, il faut trouver ce qui se retrouve dans les 4 croisements. Peut-être que tu trouveras plusieurs choses, ou au contraire, une seule.

Si tu n’en trouves aucune, regarde de nouveau ce que tu as écrit, et essaye de trouver des concepts de projets qui peuvent réunir plusieurs idées différentes.

Par exemple, si tu aimes à la fois écrire et inventer des recettes de cuisine, tu peux avoir comme projet d’écrire un livre de recettes, ou d’ouvrir un blog sur le sujet.

Et si tu te dis en plus que le monde a besoin d’un mode de vie plus sain, tu peux faire le tout sur des recettes saines.

Bref, tu me suis, Jean-Roselyne ?

Le mot de la fin

Chamois. C’est bien comme mot, chamois.

Choix à ne pas faire

- Quitter ce blog sans un commentaire, sans un like, sans un partage. En gros, sans qu’on ait remarqué ta présence. J’veux pas te porter la poisse, mais à force d’avoir de mauvaises habitudes, tu quitteras peut-être ce monde de la même manière que ce blog : sans qu’on ait remarqué ta présence.

Horrible, hein ?

Alors commente, like et partage, truand !

Choix à faire

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Tu rejoindras ainsi le cercle des privilégiés qui reçoivent mes nouveaux articles livrés directement dans leur fil d’actu.

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Pour me donner ton avis, parler de ta vie, de la pluie, du beau temps, ou de ton ongle incarné. T’as tous les droits dans l’espace commentaire, sauf celui d’être méchant, sinon j’te lance mon chat d'attaque, et même qu'il jette des arbres à chat sur les gens (je l'avais déjà dit dans cet article).

Au passage, bonne nouvelle : le test anti-robot qui vous décourageait tous de commenter mes article n'existe plus !

Parce que bien évidemment, je sais que c'est la seule chose qui vous retenait.

N'EST-CE PAS MARIE-MIGUEL ??

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Pour ne pas garder le secret de l’ikigai pour toi, et peut-être aider des personnes à se révéler. Oui, se révéler Môssieur, parfaitement.

Bisous

Mon dernier article :

<< J'arrive pas à dormir, putain d'ta race ! >>

Salut à toi, mon petit tacos des mers !

Aujourd'hui, faisons simple, pas de début d'article putaclic. Je sais, ça te manque, et je m'y remettrai un de ces quatre, fais moi confiance.

(tu remarqueras mon talent pour centrer les titres et créer des images ultra esthétiques sur Paint... j'aurais dû bosser dans le marketing)

Alors tout d'abord, toi, lecteur assidu (mais si), tu auras certainement remarqué cette absence d'articles ces dernières semaines. Révolté, tu auras même tapé du poing sur la table en hurlant :

<< Elle se fout d'notre gueule cette Tcheuque Norris, il est où le pimpage de life, bordel de cul ? >>

Et moi, un poil intimidée par ta colère qui, je l'admets, est totalement justifiée, je te dirai que, quand même, c'est pas très très poli de parler comme ça.

Puis, piteusement, je te présenterai mes plus plates excuses.

Mais genre, vraiment plates. D'une platitude au moins équivalente à celle d'une fajitas non garnie, c'est dire.

D'ailleurs, j'imagine qu'on dit << une fajita >>, mais bon, j'ai envie de dire << une fajitas >>, alors c'est pas toi qui va commencer à me dire comment je dois écrire, merde.

A peine revenue dans le game du blog que je me fais déjà engueuler, va p'têt' falloir se calmer Marie-Jules.

Bon.

Maintenant, t'arrêtes gentiment de m'emmerder pour rien, tu prends mes plates excuses concoctées avec amour et repentance, et tu fermes un peu ta gueule, sinon je vais pas pouvoir le faire, cet article.
Et c'est un peu pour ça que j'suis venue, j'te rappelle.
Non mais alors.
Pour gueuler y a du monde, puis quand il s'agit de me laisser écrire, y a plus personne.

Alors, t'es prêt à recevoir une astuce de magicien de ouf pour t'endormir à coup sûr ?

Oui.

(je t'ai entendu le dire à travers l'écran, et puis de toute façon, si t'es pas prêt c'est pareil)

DU COUP

<< Kesdontauquel, et de quoi ça s'agit ? >>

me demandes-tu avec intérêt dans un langage qui t'est propre.

Eh bien mon petit tournesol à air comprimé, c'est très simple.

Il s'agit tout simplement d'un exercice de respiration, à effectuer de la façon suivante :

Tu inspires pendant 5 secondes, puis tu expires pendant 5 secondes.

Jusqu'ici, rien de compliqué.

Tu vas faire ça pendant 5 minutes.

En gros, si tu veux pas avoir à surveiller l'heure, il va falloir le faire 30 fois.

Utilise tes gentils petits doigts pour compter sans te prendre la tête.

(oui, je sais, t'as pas 30 doigts, mais ne sois pas stupide Jean-Mireille, ça fait juste 3 fois tes 10 doigts, c'est dans tes cordes, il me semble, non ?)

ENSUITE

Oui, parce qu'il y a un << ensuite >>. En majuscules, même, et moi j'trouve que ça le rend super beau gosse.

Parce que ouais, t'as cru t'en sortir comme ça ?

Eh ben non, mon pote !

(ne me lance pas ce regard méprisant, quand je te dis << mon pote >>, c'est vexant)

Jedisédonc :

Ensuite, tu enchaînes en inspirant 4 secondes, puis en expirant 4 secondes. Pendant 5 minutes, de nouveau, ce qui donne... ça va, laisse moi compter, gros relou... 

Bref, ça donne 37,5 respirations, j'avoue que c'est un peu bancal, alors si tu veux, tu peux en faire 37, je te fais cadeau de la demi respiration, j'suis quelqu'un d'sympa, qu'est-ce que tu veux que j'te dise...

ALORS

Oui, un alors en majuscules, beau gossifié lui aussi.

J'te connais, toujours à rechigner pour rien (si, un peu quand même, reconnais le, Pierre-Belette, t'es un poil râleur...)

Tu vas m'dire << OUAIS FRANCHEMENT C'EST SUPER LONG TON TRUC >>

Et moi, vu que j'aime pas quand tu cries avec tes majuscules, j'te mets une petite taloche derrière la tête, parce que tu apprendras que des tympans, on en a que deux, alors prend soin des miens, merci.

Puis je te répondrai avec la sagesse et l'humilité d'un dalaï lama que non, c'est pas si long. En tout cas, bien moins long qu'une nuit blanche, et qu'en plus, tu vas très certainement t'endormir avant la fin des respirations, alors tu pourrais au moins avoir un peu de reconnaissance.

En plus de ça, l'exercice d'origine est bien plus long, c'est 10 minutes de chaque exercice de respiration, mais je l'ai testé et pimpé pour toi, et j'me suis rendue compte qu'il marchait bien en version courte. 

Si c'est pas le cas pour toi, teste la version longue, et désolée pour la perte de temps mouahahahahahahahahahahahahah.

(c'est bon, je me calme, ça va, j'rigole si j'veux)

KOMANKSAMARCH ?

En fait, le premier exercice, c'est tout simplement de la cohérence cardiaque, une technique de respiration qui permet de réguler le rythme cardiaque et d'induire, entre autre, un état de détente. Je t'en parlerai un peu plus à l'avenir. Et le deuxième, c'est un exercice dont le rythme stimule le système parasympathique, ce qui génère un état de relaxation, à tel point que BOUM, tu t'endors sans avoir rien vu venir.

Avec une pratique régulière, tu vas obtenir une régulation du sommeil, ce qui est cool quand on est un galérien de l'endormissement.

Voalà, tu sais tout, à toi de le mettre en pratique !

N'hésite pas à me faire part de tes retours, le SAV est un peu lent mais finit toujours par répondre.

Le mot de la fin

A partir de maintenant, reprise d'un rythme régulier, et livraison ici-même d'au moins un article par semaine.

Tiens toi prêt, j'ai plein de trucs à te dire.

Choix à ne pas faire

- Quitter ce blog sans un commentaire, sans un like sur Facebook, sans un partage...

Triste sire.

Ça t'plairait, de faire la cuisine pendant 1h30, que j'vienne bouffer chez toi et que j'reparte sans un mot ?

Aucun savoir-vivre, j'te jure...

Alors oui, il s'agit pas de bouffe, mais figure-toi que c'est presque pareil, parce que c'est fait avec amour.

AMOUR, ouais, t'entends ?

Tsssssssssssss.

(ceci est un bruit de mépris)

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Un like = une Lamborghini offerte.

(bien sûr que non, c'est pas vrai, t'es con ou quoi ?)

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C'est bien simple, les commentaires font vivre mon blog, que ce soit ici (mais y a un espèce de test anti-robot bien relou qui décourage 128% des gens), ou sur Facebook. 

Alors, donne à manger à mon blog pour qu'il devienne obèse !

- Partager cet article.

Là, évidemment, tu es forcément une personne de qualité. Je dirais même que tu es en or 24 carats. Et pour ça, je t'offrirai un tour de mon poney intergalactique personnel.

Breÿf, c'est tout pour moi, je te dis à la semaine prochaine !

Bisous

Source : << Les 3 émotions qui guérissent >>, Emmanuel Pascal

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