samedi 31 mars 2018

Un petit exercice pour trouver comment concrétiser un projet qui te tient à coeur

Weysh la famille !

T'as vu, j'ai mis un titre normal cette fois, pas de putaclic, ça change, hein ?
T'inquiète, je recommencerai de temps en temps, ça me fait toujours plaisir.


Alors,dans ta p'tite tête fort jolie, tu te dis :
<<keske teuch nouriss va nou racontai aujourdui??>>
Et du coup, avant de répondre à ta question, je me demande depuis quand t'es Ribéry.
M'enfin, c'est pas grave, je t'accepte comme tu es, avec ton écriture sms, ton freestyle grammatical, tes routournes qui vont tourner.



Aujourd'hui, je vais pas rentrer en profondeur dans un sujet comme je le fais en général (et c'est dommage, parce que les sujets adorent ça, que je leur rentre dedans en profondeur... pardon.)
Non, aujourd'hui, j'te donne un peu de boulot.
Parce qu'il y a pas de raison, c'est toujours moi qui bosse ici, et tu fais chier, Jean-Yves.
Tu veux que j'fasse un burn-out, hein, c'est ça ?
Enfoiré du cul.

Alors aujourd'hui, tu prends tes responsabilités, et tu bosses un peu.
Eh ouais mon pote.

Détend toi, j'te demande pas non plus d'aller résoudre des équations
(enfin si t'as vraiment que ça à foutre, tu peux en faire ici, triste personnage)

Nan, j'te propose un exercice plutôt intéressant, que j'ai moi-même déjà pratiqué et qui m'a permis de débloquer pas mal de choses.
Evidemment, quand j'avais vu cet exercice, j'y croyais pas des masses, je me disais que j'allais perdre mon temps.
Mais y a une chose que j'ai appris depuis quelques années, et un jour je t'en parlerai plus en détail.
Cette chose, c'est d'expérimenter.
Même quand je suis sceptique.



Pendant longtemps, j'ai stagné, et régulièrement reculé, et quand je voyais des conseils, des exercices pratiques en développement personnel, je me contentais d'imaginer le résultat dans ma tête, et je me disais :
"Mouais, ça sert à rien cette merde" ou encore "Si c'était si facile, ça s'saurait, pour qui ils s'prennent avec leurs conseils ceux-là", telle une rageuse de compétition.

Puis, j'ai commencé à expérimenter différents concepts et exercices, en m'investissant réellement.
Et, surprise, je me suis rendue compte qu'il y a tout un tas de trucs que j'avais imaginé inutiles qui m'ont été d'une aide précieuse.
Et l'exercice suivant en fait partie.

Tu as certainement au fond de toi un projet, une intention .
(autre que de manger un tacos, j'te connais, Pierre-Micheline)
Si tu as l'impression que rien ne te vient à l'esprit, prend le temps de te détendre et de laisser venir tes pensées.
Tu peux également prendre de quoi noter et faire un mini brainstorming pour faire jaillir tes idées, ça te permettra de détacher certaines idées importantes et d'y voir plus clair.
Prend tout ton temps, ne te speed pas.
Je sais que c'est compliqué de se poser, qu'on a souvent l'impression de perdre du temps, moi la première, mais c'est super important.
Ton esprit bouillonnant à besoin de détente pour obtenir de la clarté.
Si Tcheuque te l'dit, bordel de merde !

C'est bon mon p'tit couscous galactique, on peut y aller ?




L'exercice


Prend de nouveau de quoi noter.
Donne un titre à ton projet, ton intention, et tente de lui donner une date de réalisation.
Ensuite, projette toi à cette date en t'imaginant avoir réussi, et écris, comme s'il s'agissait d'une lettre ou d'un article (à quelqu'un, au monde entier, à toi, à ton chat ou ta baignoire, peu importe), en racontant comment tu as réussi à atteindre ton objectif.
Ne réfléchis pas trop, lance toi dans l'écriture et laisse toi guider par les idées qui te viennent.
Si tu attends d'avoir le déroulement complet dans ta tête, ça va certainement te bloquer.
Il s'agit de se laisser aller, et de se faire confiance.

Quel est l'intérêt de cet exercice ?


Tu vas découvrir que tu es plein de ressources insoupçonnées
(je ne parle pas de tes talents au beer-pong, ça, tout le monde le sait Maurice)
En écrivant ton parcours imaginaire, tu vas te rendre compte que des blocages qui t'empêchaient d'avancer ou de croire en toi vont se dissoudre, et tu vas te surprendre à trouver des solutions.
Souvent, quand on a notre objectif, on pense au résultat, et les efforts à fournir nous semblent colossaux.
Alors qu'en fait, on a tout un chemin à parcourir, et en s'imaginant le faire, on se rend compte que c'est une succession de petites choses qui nous mènent vers la réussite.
On se rend également compte que des choses qu'on ne soupçonnait pas nous bloquaient.
J'imagine ton scepticisme en lisant cet exercice, puisque j'en ai eu également, mais fais moi confiance mon petit coquelicot faisandé.

Ça m'a apporté une grande aide.
Et comme je te l'ai dit plus haut, faut expérimenter pour évoluer.
Alors, peut-être que cet exercice ne donnera rien pour toi, mais ça, tu ne le sauras pas tant que tu n'auras pas tenté.
Je te conseille également de ne pas laisser ta petite voix auto-saboteuse essayer de te convaincre avec ses phrases dont elle a le secret : "moui, pas maintenant, j'ai pas trop le temps, plus tard" (si c'est vraiment le cas, alors programme un moment où tu le feras, et essaye de t'y tenir) ou encore "boarf, la flemme", etc.

Evidemment, je ne te force à rien du tout, mais j't'ai promis de t'aider à pimper ta life, alors après, si toi tu fais ta feignasse, j'y peux rien, et, comme le dirait mon beau-papa avec sa délicatesse légendaire 
"sors toi les doigts du cul, pôv' pingouin !".
(on ne te demandera pas ce que tu foutais exactement avec tes doigts, ça ne regarde que toi, mais pense quand même à te laver les mains, c'est sympa pour ton entourage)

Voalà, je te souhaite un bel élan de motivation, et n'hésite pas à me faire part de tes retours sur cet exercice, par commentaire ou en privé.

Le mot de la fin


Je remercie Emy, mon artificière personnelle, qui est toujours présente pour animer l'espace commentaire de la page Facebook de ce blog.
Ses feux d'artifice explosifs et colorés mettent de la joie dans le cœur de chacun d'entre nous.


Choix à ne pas faire


- Partir sans liker, commenter ou partager.
Parce que t'es un gros con, tout simplement, faut bien qu'on te le dise, Jean-Carole.
T'es le mec insupportable qui regarde son iPhone pendant qu'on lui parle, qui met pas son cligno avant de tourner, qui dit pas bonjour en arrivant à la caisse, qui ferme pas la porte des magasins en plein hiver, qui tient pas la porte du tram aux gens qui arrivent en courant, qui laisse pas sa place aux ancêtres dans les transports en commun, qui dit pas pardon quand il marche sur les pieds des gens, qui n'essuie pas sa pisse à côté des chiottes des gens chez qui il est invité, qui vient sans cadeaux aux anniversaires, qui ramène des paniers de Yoplait en soirée en disant fièrement "J'ai amené le dessert !", qui marche sur les trente centimètres carrés du magasin où la vendeuse avait commencé à passer la serpillière alors qu'elle a dit "attention, c'est mouillé par là", qui roule dans les flaques d'eau à 50cm des piétons, qui jette sa canette vide en pleine rue, qui met des coups de sonnette en vélo comme un demeuré en râlant sur les piétons alors qu'il est pas sur la piste cyclable, qui éternue à la gueule des gens, bref, t'es un gros con, mais tu peux commencer à changer.
C'est pour ça que j'te tends la main, et te dis avec bienveillance :
<<Partage mon article, putain d'ta race !!!>>


Choix à faire


- Liker la page Facebook de ce blog en cliquant ICI.
Pour admirer les feux d'artifice d'Emy et te tenir au courant de la sortie de mes articles en avant-première.

- Commenter cet article, ici ou/et sur Facebook.
Parce que c'est comme ça que je serai motivée à continuer.
En plus, cette fois, j'aimerais au moins que tu me dises ce que tu penses du fait que je propose des exercices pratiques.
Parce que j'en ai d'autres en stock, et si ça t'intéresse, je leur dédierai une catégorie d'articles.
Et si tu veux parler de n'importe quoi d'autre, n'hésite pas.
Même de l'anus artificiel de ton chat, y a pas de problème Philippe, on t'écoute.

-Partager cet article.
Parce que comme ça, tu deviens un peu un de mes disciples, et que tu prêcheras la bonne parole pour rendre ce monde meilleur, et mes chevilles plus enflées.
Et si t'as du mal avec l'idée d'être un disciple, dis toi plutôt que t'es un guerrier du pimpage de life, et ça, c'est quand même vraiment cool, p'têt même que j'ferai un blason officielle de ma team.



Bisous


Mes derniers articles, si tu les as loupé






mercredi 14 mars 2018

Comment on m'a viré du couvent pour orgie lesbienne


Bonjour à toi, mon p'tit fauteuil au paprika.

Aujourd'hui, je te raconte mon orgie lesbienne au couvent, comment ça s'est ébruité, et pourquoi je me suis fait virer.


Mon p'tit coq merveilleux, cet article est la suite de ces deux articles :


Si tu ne les as pas déjà lu, clique leur dessus pour les lire, sinon tu vas rien comprendre.
En plus, ils adorent qu'on leur clique dessus.
Fais toi plaiz' ma p'tite cacahuète dorée.

Voilà, maintenant que t'es à jour (putain, tu lis vite, j'ai même pas encore eu le temps de taper l'article), on peut donc poursuivre dans notre lancée.

<<On parlait de quoi, déjà ?>>
me lances-tu avec légèreté.

Impassible, j'ignore ta provocation, et poursuit ce dernier article de la série 
<<3 clés pour conserver tes désaccords tout en conservant des relations harmonieuses>>,
ce qui est vachement long, comme titre.
En plus, vu que tu ne t'intéresse qu'au sesk, t'aurais jamais cliqué sur cet article.
Triste sire.

On a déjà vu deux bases essentielles, le respect et l'empathie.
Il va maintenant s'agir de mettre tout ça en forme, pour communiquer facilement avec notre entourage.

Et, quoi de mieux pour communiquer que... la communication ?

<<Là, elle se fout un peu d'notre gueule.>>
déclares-tu, l'air désabusé.

Gentiment, je réprime mon envie d'te foutre mon poing dans la gueule pour avoir osé me parler comme ça, puis, je te flanque discrètement un coup de genou dans l'estomac, ce qui fait sortir de ta bouche un "bleuah" assez ridicule, tu dois bien l'admettre.
Grossier merle.

Reprenons.

Je disais donc :

La communication


Alors, t'as p'têt' l'impression qu'à partir du moment où tu parles à quelqu'un, c'est d'la communication, mais c'est faux.

<<Euh, ouais, enfin si, quand même>>
me rétorques-tu.

Je fais abstraction du fait que tu viens de me couper la parole, et poursuis mon récit sereinement, après t'avoir arraché une molaire à mains nues.

Communiquer est un art subtil, Vladimir.
Communiquer, c'est tenter d'être réellement compris, et offrir ton écoute et ta compréhension à l'autre.
C'est en général ce qu'on croit faire, mais on est souvent maladroits, et on déclenche parfois des conflits au lieu d'avoir des discussions constructives.

Si l'on veut faire part à quelqu'un que l'on aime d'une remarque sur quelque chose qui nous déplaît de sa part, alors il faut veiller à ce que ça ne sonne pas comme un reproche, qui anéantirait toute possibilité de communication.
(anéantirait, ouais, carrément)

Visualise tes relations comme des équipes, dont la personne et toi faîtes partie.
Pour que l'équipe gagne, vous devez être des coéquipiers investis dans votre relation.

Alors, évidemment, y a des moments où la personne te fait clairement chier, du coup, t'as envie de l'envoyer chier à ton tour.
Et tu peux le faire, si t'as envie de virer la personne de ta vie.
Mais si c'est quelqu'un que tu apprécies et avec qui tu veux garder une relation harmonieuse, c'est pas idéal.

Précision : Il ne s'agit absolument pas de "prendre sur soi" et de garder les choses pour soi.
(sinon, "soi" en a marre au bout d'un moment, et finit par trucider ses proches avec une fourchette en plein repas de famille)

C'est important de se dire les choses, sinon on accumule de la rancœur.
Du coup, est-ce que t'es prêt à ouvrir grand les yeux pour lire ce que j'ai à susurrer au creux de ta splendide oreille, mon lapin foisonnant ?

Bon, on va dire que t'as dit oui, sinon cet article va mourir dans l’œuf, et c'est quand même triste, de mourir dans un œuf.
'fin j'imagine, j'connais personne qu'a expérimenté le concept.

Trêves de monologues, voici un rappel de mes conseils précédents pour aborder des sujets épineux avec ton entourage :

- Parler de manière respectueuse (ne pas crier, rabaisser, dénigrer ou utiliser les sarcasmes)
- Faire preuve de compassion envers l'autre, et respecter également son ressenti (ressenti qui ne doit pas servir pour autant de chantage : chacun est responsable de ce qu'il ressent)
- Lui mettre un coup de boule
- Ne pas suivre le conseil précédent.

Voalà.

Après ce rappel des bases, on va maintenant voir ce qui est à éviter en communication.

En abordant un problème, il est important de :


- Prendre du recul pour ne pas réagir à chaud. 
Ça permet également de mettre ses idées en place, et d'éviter de prononcer des paroles que tu vas regretter.

- Ne pas porter de jugement sur la personne.
Si tu juges la personne, elle va vouloir se défendre ou contre-attaquer, au lieu d'essayer de te comprendre.

- S'en tenir à l'observation des faits, sans évaluer la personne.
Je pense notamment au fait de coller une étiquette :
"T'es un glandeur", "T'es trop gentil avec ton patron", "T'es irresponsable" ou encore "T'es colérique" sont des étiquettes, qui résonnent comme des sentences que nous proclamons en enfermant la personne dans une identité.

- Être précis au sujet du problème que tu abordes.
Exemple : au lieu de <<t'es colérique>>, donner des détails objectifs :
<<quand tu me cries dessus comme hier matin ou ce soir...>>

- Exprimer clairement ses demandes et ses attentes.
Tu ne peux pas reprocher aux autres de ne pas avoir lu dans tes pensées ou interprété ton comportement. Vous êtes différents, et n'avez ni les mêmes attentes, ni les mêmes interprétations des faits. Encore une fois, il s'agit de dire les choses.

- Ne pas utiliser l'exagération et la dramatisation.
Exemples : "C'est toujours pareil", "t'es jamais là quand il faut", en bref, ne pas faire de généralités, aussi récurrent soit le problème.

- Prétendre savoir mieux que la personne quelles étaient ses intentions.
Il s'agit encore une fois de différencier les faits et les paroles de l'interprétation que vous en faîtes.
Vos interprétations ne sont que des suppositions, il est donc important de demander à la personne ce qu'elle a réellement voulu dire / faire.
Mettez la en confiance et rappelez lui qu'elle peut être honnête avec vous. Si vous estimez que ses réponses ne vous conviennent pas et que vous la soupçonnez de mentir, alors il n'y a pas de confiance dans votre relation, que ce soit justifié ou non. Il faut soit travailler ensemble pour une confiance mutuelle et de l'honnêteté, soit rompre cette relation / prendre des distances / abandonner la personne en forêt dans l'espoir qu'elle se fasse dévorer par des sangliers.

Et maintenant ?


En fait, pour aborder un problème, plutôt que "d'engueuler" l'autre, parle lui à cœur ouvert.
A ce sujet, on va aller jeter un œil du côté de la Communication Non Violente.
(enfin, moi j'vais aller y jeter un œil, après toi tu fais c'que tu veux, si t'as envie de rester là tout seul comme un con c'est ton problème)

La Communication Non Violente


<<Kéceucé ?>>
me questionnes-tu, sans même prendre la peine d'articuler.
Eh bien mon baleineau historique, la Communication Non Violente, dite "CNV" dans l'jargon du développement personnel, c'est un concept fondé par un brave homme, Marshall B. Rosenberg.
Le gars est docteur en psychologie appliquée, donc on suppose qu'il s'y connait un peu.
(ce qui n'empêche pas de tester avant d'approuver aveuglément)
Dans son livre, "La Communication Non Violente au quotidien", il nous propose fort aimablement une méthode <<qui permet d'accroître la qualité de la relation, la compréhension et les rapports entre les personnes, mais aussi et surtout, le respect de nos différences mutuelles.>>
(C'est pas moi qui l'dis, c'est le dos du livre. C'est fou c'que ça peut dire un dos, des fois. Le mien, tout ce qu'il arrive à dire, c'est "crac". Faudrait que je l'emmène chez l'orthophoniste)

La CNV est un concept qui a connu un grand succès à travers le monde : plus de 200 000 lecteurs. En 1999, il y avait déjà plus de 60 associations pour la promotion de la CNV.
Le truc qui pèse dans l'game, quoi.

Et donc, que nous suggère la CNV pour aborder un problème ?


En résumé, pour exprimer clairement nos besoins, la CNV nous recommande de parler de faits concrets, de nos sentiments, et de les expliquer.
Le livre nous donne les exemples suivants, ou presque :
<<Lorsque je rentre à la maison et que je trouve de la pizza moisie sur les murs et des souris mortes qui jonchent le sol, je me sens agacé parce que j'ai besoin d'ordre et de propreté autour de moi>>
ou encore 
<<Je suis triste que tu ne viennes pas à la maison ce soir, parce que j'espérais que nous passerions la soirée ensemble, en mangeant de la tartiflette devant du porno ukrainien>>.
Comme tu l'auras sans doute remarqué, j'ai vaguement modifié les exemples, afin de ne pas avoir de problèmes de droits d'auteur.

Le mot de la fin


Bite.

Choix à faire


- Partager cet article flamboyant.
Comme ça, tes proches arrêteront de te pourrir la gueule.
Nan, j'déconne, faut pas que ce soit une manière de régler tes comptes, genre "regarde, toi qui fais tout mal, prends en d'la graine".
On peut pas demander aux autres d'appliquer ce qu'on n'applique pas.
Alors, faîtes le gentiment ensemble, en chantant main dans la main autour d'un feu de camp, ou d'un gang bang.

- Commenter cet article.
Un commentaire = un trou de la couche d'ozone réparé.
Ma mère fait un peu d'couture, je m'arrangerai avec elle.

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On est 100, ça y est.
Prochain objectif : 1 million.
(edit : On est plus 100, ça y est plus. Un fdp s'est désabonné exprès pour me faire chier. Prochain objectif : 100)

Choix à ne pas faire


- Partir sans commenter, partager ou liker.
C'est irrespectueux.
Au moins autant que de péter dans une mosquée.
Alors fais preuve de bonne volonté, Charles-Justine.

Prochain article bientôt, bb !

En attendant, si tu souhaites les relire, voici mes deux derniers articles, clique leur dessus avec férocité :


Bisous



dimanche 11 mars 2018

Pourquoi j'ai finalement arrêté le porno pour entrer au couvent

Salut à toi, ma petite chauve-souris philanthrope.


Aujourd'hui, je vais te raconter comment j'en suis venue à lâcher le porno pour entrer au couvent.


Bonjour ma p'tite tomate farcie, cet article est la suite de "Pourquoi j'ai décidé de me lancer de le porno", si tu ne l'as pas encore lu, clique ici.
(sinon tu vas rien comprendre)

Voilà.
C'est bon, on est entre gens qui sachent ?
C'est important, de sachoir.
Du coup, toi tu saches que je me suis pas lancée dans le porno.
Et que je suis pas entrée au couvent non plus, si tu es un minimum pourvu de sens de la déduction.

Par contre, t'as déjà lu que pour exprimer tes désaccords avec les gens que tu aimes tout en conservant des relations harmonieuses, il fallait 3 clés.

(véridique : cet homme légendaire a été à l'école avec mon père)
(ça fera ma fierté toute ma vie, bien que je n'y sois pour rien)

Dans mon article précédent, on a parlé du respect et de la maîtrise de soi.
Alors, j'espère que t'as pas trop fait chier le monde depuis, et que t'es resté gitil.
Parce que c'est bien, d'être gitil.
Mais faut quand même dire les choses, sinon ça moisit au fond de ton cœur, et c'est dégoûtant, du moisi dans le fond du cœur.

Et donc aujourd'hui, mon petit salsifi roi du dancefloor, cet article est venu t'apporter la deuxième clé.
C'est bien aimable de sa part, tu peux l'en remercier.
Faut dire qu'il avait pas grand chose d'autre à foutre, mais, quand même, il était pas obligé.
Il aurait très bien pu aller faire du vélo avec ses copains.
Alors tu dis merci, point barre, c'est quand même pas compliqué.
Merde à la fin.
Bordel de cul.

Il vient gentiment te donner une clé, et toi ça t'arrache la gueule de lui dire merci ?
Belle mentalité.
20/20, bravo.

Je passe l'éponge pour cette fois, mais c'est bien parce que c'est toi.
Y en a qu'ont fini au fond de la Méditerranée avec les pieds dans le ciment pour moins qu'ça.

Poursuivons.
Voici donc, la deuxième clé :

L'empathie


<<wébofonsenfou>>
râles-tu, à croire que tu ne sais faire que ça.
<<Fais moi confiance, peut-être que la suite t'intéressera>> 
te réponds-je patiemment, tout en te mettant des coups de tournevis dans le foie, parce que, vraiment, tu fais chier à tout le temps me couper la parole.
C'est pas la première fois que j'te l'dis Martin.

C'est bon, j'peux parler ?
Non parce que sinon, j'te laisse écrire l'article.

AH ON RIGOLE MOINS JOSSELIN !

Après une longue inspiration, et la délectation que m'offre ton silence, je me lance :

L'empathie, c koa ?


<<Capacité de s'identifier à autrui dans ce qu'il ressent.>>
Selon le Grand Larousse illustré 2018 que je garde précieusement sur ma table de nuit.
(nan j'déconne, j'ai trouvé la définition sur Google)

Et du coup, on s'en sert comment d'ton empathie ?


On s'en sert pour se mettre à la place de l'autre, réellement.
En essayant de visualiser la portée de nos mots dans la tête de la personne, et non celle qu'on aimerait qu'elle ait.
Ne pas se dire <<moi, ça m'aurait fait réfléchir>>, ou encore <<moi, j'aurais reconnu mes torts>>, mais bien prendre en compte le fait qu'on n'a tout simplement pas le même logiciel de base que cette personne, et que les informations ne sont donc pas traitées de la même manière.

En plus de ça, lorsque l'on dit qu'on aurait accepté telle ou telle réflexion, c'est souvent faux et d'une mauvaise foi incroyable.
Oui, parce que t'es comme ça, Pierre-Elodie.
De mauvaise foi.

Parce que, même si le fond de notre remarque est juste, si la forme est dure, blessante, agressive, ou encore moraliste, quasiment personne ne peut y réagir de façon positive.
Comme je te l'avais dit dans l'article précédent, ça revient à traiter l'autre comme un adversaire et non comme un allié.
Tu ne dois pas chercher à blesser l'autre, ou appuyer sur ses failles.
C'est une attitude de domination, et aucune relation saine n'est basée sur un rapport dominant / dominé
(je ne parle pas du cadre de la sexualité, chacunféskiveu, et si insérer des pastèques dans l'urètre de votre partenaire vous procure un bonheur mutuel, allez-y, roulez jeunesse)

Avant d'attaquer une personne que tu apprécies, je te propose plutôt de prendre du recul, te calmer, et, en faisant appel à tout l'amour que tu as pour elle, de faire preuve de compassion à son égard.
Tu peux, par exemple, te demander si cette personne souffre, si son histoire et ses blessures ont pu l'amener au comportement que tu lui reproches.
Le problème ne s'envolera pas par magie, et il ne s'agit pas de tout tolérer, mais simplement de remettre les choses en perspective.
Ça te permettra d'aborder la situation plus sereinement, sous un angle que tu n'avais peut-être pas envisagé.
Tu auras ainsi beaucoup plus de chances de régler tes désaccords.

Je rappelle que le respect mutuel est une base essentielle pour une relation équilibrée.
Et l'empathie, qui en est une également, doit aller dans les deux sens.

Pour permettre à tes proches d'avoir de l'empathie à ton égard, c'est important de t'ouvrir à eux, avec sincérité et sans chantage affectif.
Pour qu'ils puissent comprendre qu'ils te font peut-être souffrir ou te contrarient, c'est absolument contre-productif de leur balancer des "tu fais chier" à la gueule.
Tu remarqueras même qu'après ça, ils vont inconsciemment appuyer tes propos, et te faire chier encore plus.


<<Alors, c'est quoi la solution magique, Tcheutcheuque ?>>

me demandes-tu, en t'étonnant de te prendre un coup d'boule pour m'avoir donné ce sobriquet.
Aimablement, j'accepte tes excuses en insérant les doigts dans tes globes oculaires, puis je reprends mes explications.
(ne faîtes pas ça chez vous, ces cascades sont réalisées par une professionnelle)

J'te disais donc, mon p'tit Bernard, que pour qu'une personne puisse se mettre à ta place, tu devais communiquer ton ressenti avec justesse, sans dramatiser, sans ton accusateur, sans phrases culpabilisatrices, sans gluten, et sans lactose.
Les phrases du genre <<ÇA T'PLAIT D'ME VOIR CHIALER ??>> (ou encore <<Maaaais ooon en aaa besooiiiiin, d'ces treeeenteurooooos, j'vais pas m'mettre à chialeeeer d'vant vouuuus kanmeeeem ??? :'( :'( :'(>> #specialecassdédi) vont simplement agacer l'autre, voire le faire marrer devant tes élans de tragédie.
Pas la peine d'être mélodramatique et de te rendre pathétique, Jean-Micheline.

Non, ce dont (auquel que) j'te parle, c'est de parler de ton ressenti avec sincérité, sans artifices.
Dire simplement <<Je suis triste>>, ou <<Je suis blessé(e)>> aidera beaucoup plus la personne à se mettre à ta place.

Je t'aiderai, dans mon prochain article, à formuler tout ça sans trop de maladresse.
<<- Mais pour qui elle se prend wesh ?? 
          -Pour Tcheuque Norris, alors ta gueule, cimer>>
(Et puis je donne des conseil àceukiveul, d'abord !!! Si tu veux pas, t'es pas obligé de rester. Chacun est libre de partir avant la fin de l'article. Je t'en voudrai pas. Sac à merde.)

En attendant, je conclurai en te disant que c'est important de respecter le ressenti de l'autre, et de pas le dévaloriser, ou le nier.
On est tous différents, notre vécu, notre éducation, nos valeurs ou encore nos priorités, ne sont pas les mêmes.
Tu n'as donc pas à juger si un ressenti est légitime ou non.
Sinon j'te pète la gueule.

Et réciproquement, l'autre se doit de respecter ce que tu ressens, et de ne pas le juger.
Ne laisse personne dénigrer ce ressenti, rappelle à l'autre s'il le faut que vous êtes différents, et qu'il se doit de respecter ce fait.
Sinon j'lui pète la gueule.

En fait, il s'agit simplement de tolérance et de compréhension.
UN PEU D'AMOUR DANS CE MONDE, WESH !!!

Rappel des fondamentaux de l'empathie

- Te mettre à la place de l'autre
- Ne pas chercher à blesser la personne, appuyer sur ses failles
- Respecter le ressenti de la personne
- Faire respecter ton ressenti

Le mot de la fin

Voalà, l'article est fini tavu.

Choix à faire


- Partager cet article
Parce que c'est une bonne action, et que t'es quelqu'un de bien. 
Et qu'en plus c'est gratuit.
Ça tombe bien, t'es radin.
Gentil, mais radin.

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Et là, tu feras direct partie de mes lecteurs chouchous.
P'têt' même que j'établirai un top 10, alors tiens toi prêt.

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Comme ça tu verras mes articles djirect.
Et qu'en plus, ben on est presque 100.
Et qu'à 100, j'ferai une surprise.
(en fait non, clique pas, sinon j'vais réellement devoir trouver une surprise à faire, et on sait pas c'que ça peut donner, moi à ta place, j'aurais peur)

Choix à ne pas faire


- Partir en silence.
T'as des doigts, il me semble ?
Tu peux donc, cliquer et taper sur des touches ?
Donc, par extension, m'écrire un commentaire ou partager cet article empli d'amour et de phrases ?
T'as vu tout c'que j'ai écrit, moi ?
Alors ça t'coûte quoi une phrase, hein, 
ÇA T'COÛTE QUOI UNE PHRASE, DIS LE MOI MARIE-HUBERT ??

Fin


Prochain article mercredi.
Tiens toi prêt pour la suite.
Et si t'as vraiment pas lu mon premier article sur le sujet,
clique ici :



et si tu veux lire la suite de ces deux articles, clique ici :




Bisous




mercredi 7 mars 2018

Pourquoi j'ai décidé de me lancer dans le porno

Salut à toi, ma petite langoustine andalouse.


Aujourd'hui, j'vais te dire pourquoi j'ai décidé de me lancer dans le porno.


Bien évidemment, tu commences à m'connaître, avec mes accroches d'articles plus racoleuses les unes que les autres.
Tu sais bien que c'est une connerie.
Mais, n'empêche, dans le doute, tu cliques quand même
Sait-on jamais.
Et t'as raison, mon p'tit bigorneau fulgurant, on sait jamais.
Parce que ça m'arrive effectivement de dire la vérité dans mon titre.
Mais, désolée pour toi, et tant mieux pour ma Maman, pas là.

Donc maintenant que tu t'es fait prendre en otage par mon début d'article, tu t'demandes exactement où je veux en venir, et pourquoi j'te fais subir tout ça.
Eh ben j'te l'dis, ma tourterelle aquatique : pour ton bien.
Ouais, t'as bien lu, ton bien.
Je viens sauver ton âme, tel un Mormon convaincu.
Un Mormon vulgaire, qui boit de la bière, mais convaincu quand même.
C'est donc dans l'humilité la plus modeste et dans la modestie la plus humble que je démarre ce saint article.
(oui, "saint article", tu peux même lui adresser des prières dans les commentaires, la divinité locale a.k.a moi-même te répondra)

Aujourd'hui, mon petit cheval Monégasque, j'ai envie d'te parler de communication, pour des relations plus sereines avec les gens que t'aimes bien.
(les autres, on s'en bat les couilles, cimer)
(un jour, j'apprendrai à aimer le monde entier, mais y a encore trop d'cons)

Parce que toi, mon gentil coquillage à quatre pattes, il t'arrive certainement, comme tout être humain sur cette planète, d'avoir des sujets de désaccord avec les gens chers à ton cœur.
Et même que ça finit parfois en engueulades, et ça c'est triste.
Sauf qu'ici, on n'est pas là pour rester tristes.
On est là pour pimper nos lifes.

Alors, écoute donc les conseils que je viens murmurer à ton oreille de chevaux.
(ouais, parce que t'es pas un cheval, t'es un chevaux. c'est cool, un chevaux.)

Je vais te donner ce qui constitue selon moi les 3 clés principales pour exprimer tes désaccords tout en conservant des relations harmonieuses.
Pour que ce ne soit pas trop long, je t'en donnerai une par article, ce qui fera donc... trois articles, c'est bien, tu suis Pierre-François.
(enfin, tu "suis", mais tu "es" Pierre-François, mais c'que je voulais dire, c'est que tu... tu m'fatigues, en fait, voilà c'que j'voulais dire)

Et voici tout de suite la première clé, tu t'attendais p'têt' pas à c'qu'elle arrive aussi vite, mais elle est venue en TGV.
Un TGV à l'heure.
(paraît qu'ça arrive)

Première clé : Le respect


C'est la base de tout.
(ouais, "tout", t'entends ?? même de la pizza)

Ce n'est pas parce que tu aimes quelqu'un et que tu en es proche que tu peux te permettre de ne pas le respecter.
On croit parfois que le fait de s'autoriser à se hurler dessus, et avoir des mots blessants, est une forme de proximité, que ça veut dire "qu'on s'connaît bien".
Un peu du genre "j'ai pas à faire d'efforts, j'peux me montrer gueulard(e) tel(le) que je suis, puisqu'on s'connaît bien."
Ah ben merci du cadeau.

T'as déjà certainement entendu ou prononcé ce genre de phrases :
<<Plus on s'aime, plus on s'engueule fort.>>
Eh bah cette phrase, sois gentil mon petit crocodile polaire, tu la prends, et tu la mets à la poubelle.
Puis, tu mets l'feu à la poubelle.
Et quand la police débarquera, tu diras que c'était ton idée.
Fais moi confiance.

Le fait de se hurler dessus, et de se balancer des horreurs à la gueule, c'est pas de l'amour, c'est de la violence verbale.
Ça te paraît compliqué de faire autrement ?
Rassure-toi mon chaton, c'est normal.
Quand on a été habitué à vivre avec certains mécanismes, qui proviennent souvent de modèles familiaux, ça semble compliqué de s'en défaire.
Et pourtant, c'est possible.
Car c'est un choix qui t'appartient.
A moins d'être atteint de troubles de l'agressivité nécessitant l'aide d'un thérapeute, tu es tout à fait capable de respecter quelqu'un.
La preuve, si tu y réfléchis bien, il y a forcément des personnes que tu connais et à qui tu ne te permettrais jamais de manquer de respect, et sur qui tu ne crierais jamais.

Autre point, pour éviter de changer, on peut également se cacher derrière des phrases fatalistes, qu'on prononce telles des vérités absolues à notre sujet.
"J'y peux rien, j'suis comme ça", "j'peux pas m'contrôler" ou encore "j'suis sanguin(e)" en sont de bons exemples.
En les prononçant, on se façonne une identité dans laquelle on se cloisonne, et on se déresponsabilise de nos actes, de nos paroles.

Car on a toujours la pleine responsabilité de ce que l'on dit, et de ce que l'on fait.

Tu as la capacité de décider si tu veux être une personne bienveillante ou tyrannique envers tes proches.

C'est donc important d'avoir une attitude respectueuse à leur égard, de ne pas leur crier dessus, les rabaisser, ou chercher à les blesser.



Hausser le ton sur un proche est rabaissant, infantilisant, et ça revient à une tentative d'intimidation, ce qui anéantit d'office toute possibilité de discussion saine et constructive.
Il se peut effectivement que tu arrives à obtenir gain de cause auprès de la personne après lui avoir hurlé dessus.
Mais ce sera une réaction de crainte, et non de réelle compréhension de tes besoins.
Et je sais pas trop c'que t'en penses, mais moi j'trouve ça pas très sain, l'idée d'inspirer de la crainte aux gens que j'aime, pas vrai mon p'tit palmier à poils longs ?

Les problèmes doivent être abordés dans le calme pour être solutionnés.
Tu dois traiter l'autre d'égal à égal.
La personne doit être considérée comme un partenaire et non un adversaire.
Il suffit de peu de choses pour faire d'elle un adversaire, par exemple, si, pour évoquer un comportement de l'autre qui nous déplaît, on hausse la voix avec un ton accusateur ou plaintif pour dire à Francky :
"De toutes façons, t'en as rien à foutre de moi, tu m'écoutes JAMAIS !!!"
Même si notre ressenti est celui-ci, et que notre plainte est légitime, on peut être certain que ça n'engendrera pas de discussion constructive, pouvant aboutir à des prises de conscience, et des idées pour régler le problème.
Et pourtant, c'est justement ça qu'on voulait !

Au lieu de ça, on lance une balle de tennis enflammée à Francky, qui va très probablement avoir l'une des réactions suivantes :
- esquiver la balle, en niant le problème et sa part de responsabilité : "N'importe quoi ! Faut vraiment que t'arrêtes ton cinéma !!!"
- renvoyer la balle, en te reportant la responsabilité : "Tu peux parler ! Toi, l'autre fois, quand on était au barbecue de Jean-Christine, t'en avais rien à foutre de c'que j'te disais ! Le nombre de fois où j'ai parlé dans le vide..."
- esquiver la balle, et t'en renvoyer une différente, pour d'tourner l'attention du problème et de sa responsabilité, tout en vidant son sac : "Ouais, bah j't'écouterai p'têt' un peu plus le jour où t'arrêteras de prendre toute l'eau chaude de la douche dès l'matin !"

Alors bien sûr, là tu t'demandes ce qu'il aurait fallu dire à Francky pour pas que ça parte en couille comme à chaque fois.
Mais sois patient, mon petit souriceau Vénézuélien, je t'en parlerai dans les articles suivants.

Autre danger, le cynisme, ennemi insidieux du respect.
On a l'illusion de ne pas s'engueuler, parce que le ton qu'on emploie est calme et que l'on ne hausse pas la voix.
On va balancer des petites phrases de manière sarcastique pour faire passer nos messages.
Par exemple, à ton mec / ta meuf / ton chat, que tu vas retrouver affalé sur le canap' quand tu rentres du taf alors que la pile de vaisselle va jusqu'au plafond, et p'têt même au-delà, chez les voisins du dessus.
"C'est bien, j'vois que tu t'es bougé aujourd'hui ! Et pour la vaisselle, t'en fais pas, hein, elle va s'faire toute seule, comme d'hab..."

Ce genre de phrases, mon p'tit dindon molletonné, je te l'dis, c'est du poison.
Même si ta remarque est justifiée, ta façon de la faire ne réglera pas le problème, au contraire, tu vas braquer la personne et envenimer la situation.
En la prononçant telle quelle, tu vexes la personne en l'infantilisant, ce qui va générer de la rancune de sa part, et mettre en place une compétition implicite.
En gros, attends toi à une vengeance, cette personne sautera certainement sur la première occasion de te balancer des piques.
Ce petit jeu malsain se poursuit parfois même en public, où chacun se réjouit de pouvoir mettre en avant les "fautes" de l'autre, heureux d'avoir des témoins.
(témoins qui seront généralement mal à l'aise, et non compatissants à l'égard de la personne qui fait des réflexions)

Pour finir (ou presque)


C'est également important de souligner que le respect doit être mutuel.
Généralement, en étant calme, posé et respectueux, tes proches le seront avec toi.
Observe déjà les changements que ça produit lorsque tu as cette attitude de respect solide envers eux.
Bien sûr, ça ne marche pas toujours, c'est pourquoi il faut également savoir te faire respecter et faire des rappels à tes proches lorsqu'ils l'oublient.
Non, pas en leur mettant des patates dans la gueule.
Il s'agit de poser tes limites sainement, Pierre-Maurice.
<<Je suis prêt(e) à t'écouter, mais je veux que tu me parles calmement>> ou encore <<pour que je te comprenne, il faut qu'on dialogue calmement>> sont des phrases avec ce qu'il faut de fermeté et de douceur pour ramener le calme.
Egalement très efficace, la phrase suivante fera des merveilles :
"Vas-y ferme ta gueule bouffon, d'où tu m'parles comme ça FDP ??"
Non, j'déconne.
Ne parle pas comme ça à tes proches.
Jamais.
Sinon, Pascal le grand frère viendra chez toi pour te dresser, et tu te taperas la honte devant la France entière quand il retournera ton lit.


Rappel des fondamentaux du respect


- Ne pas hausser le ton
- Parler calmement
- Bannir le cynisme
- Considérer l'autre comme ton égal
- Savoir poser tes limites quand c'est nécessaire

La vraie fin (je crois)


C'est fini pour aujourd'hui, mon p'tit cookie des forêts.
Je souhaitais tout d'abord te montrer comment établir un cadre basé sur le respect, qui est absolument indispensable.
Je te laisse donc assimiler l'art du respect, et tiens toi prêt, car dimanche, la deuxième clé arrive.
En hoverboard.
Mais le vrai, de Retour vers le Futur.

Choix à faire


- Partager cet article, pour rendre ce monde plus respectueux, tes proches y compris. 
A chaque partage, un lama voyage gratuitement dans toute la galaxie.
Et ça, c'est quand même super stylé.

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Parce que c'est un saint article, et que tu seras béni(e) toute la semaine.

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On est bientôt 100 les gars, on va foutre le bordel.

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Bravo, belle mentalité. Comme le dirait Scar : 
<<Paaaars. Et neureuvienJAMÉ!!!>>
J'le fais bien, hein ?

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Bisous

Première vraie vidéo avec du retard

Salut mon p'tit palmier hydrofuge S'il existe encore des personnes qui lisent ce blog sans être abonné à ma page facebook ( ic...